Au début de février, Yamaha Moteur du Canada a ouvert ses portes à un petit groupe d’amateur de motocyclette de l’école secondaire Clarkson, à Mississauga en Ontario.
Ces étudiants font partie d’un programme parascolaire dans lequel ils reconstruisent de vieilles motocyclettes et les donnent à un organisme de bienfaisance. Ce club est un endroit sécuritaire donnant l’occasion à ces jeunes d’apprendre les notions de base du service de motocyclettes.
Yamaha a été introduit au groupe pour la première fois par un ami du directeur du développement des affaires des Services Financiers Yamaha, Sam Calautti. Calautti a appris que le groupe était toujours à la recherche de motocyclettes usagées à restaurer et son ami a cru qu’il serait une bonne personne-ressource.
«Une fois que j’ai su la raison pourquoi ils avaient besoin d’une motocyclette, je savais que nous devions trouver une façon de les aider», explique Calautti. «J’ai adoré l’histoire, la façon dont les professeurs ont pris en charge ses étudiants et ont tourné leur attention vers une contribution positive à leur communauté et le tout, en encourageant leur passion pour les motocyclettes».
Neuf étudiants, deux professeurs et un directeur ont eu droit à une visite du siège social de Yamaha Moteur du Canada situé à Toronto, en plus d’une présentation de la part de nos départements des ventes, des services après-vente, des pièces et accessoires, marketing, informatique et financier. Le groupe a découvert la façon dont chacune des différentes équipes contribue à la façon dont Yamaha fonctionne.
«Je n’ai jamais vu les jeunes aussi heureux et impliqués», mentionne Mary Zammit, directrice de l’école secondaire Clarkson.
Une grande surprise attendait les étudiants en fin de journée. Calautti leur a remis l’ultime cadeau : une moto sport YZF-R6 Yamaha qu’ils pourront désassembler et reconstruire. Puisque leur récent projet est une TZ125 de Yamaha des années 1981, les étudiants apprendront beaucoup sur l’évolution d’un quart de siècle entre les deux motos!
«Finalement, nous leur avons montré qu’il y a un monde prometteur en dehors du secondaire», a résumé Calautti. «En espérant que ceci continue d’alimenter leur passion pour les sports motorisés et leur désir d’apprendre».